Ma premiére expérience de soumise.

Publié le par bettyboop princesse sabine

Il faisait beau en ce Mardi de printemps.
J'étais en vacances pour une petite semaine bien méritée, après une année à travailler comme une forcenée.
C'est mon téléphone qui me sortit de mon sommeil.
A cet horaire, trop matinale à mon goût, je l'aurais volontiers pulvérisé ce satané engin.
C'est sophie qui m'appelait.
Elle répondait, à peine, au message que je lui avais envoyé hier soir pour la prévenir que je ne travaillais pas cette semaine.

Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vue et je mourrais d’envie de combler ce manque.
Il faut dire que nous étions deux inséparables, plus jeunes et que les aléas de la vie, sentimentale et professionnelle, nous ont obligé à nous éloigner quelque peu.
Malgré cela, nous faisons en sorte de nous voir tout de même chaque mois, quand nous le pouvons.
Sophie est une jeune femme très ouverte sur toutes les choses de la vie.
Rien ne l’étonne et, surtout, rien ne l’effraie.
Elle est quelqu’un de décidé et va toujours au bout des projets qu’elle entreprend.
Cette tonicité, elle la paie un peu sur tout ce qui touche à sa vie amoureuse.
En effet, c’est une touche-à-tout, en matière de sexe et ces comportements, lors de ses rapports avec ses conjointes du moment, peuvent en effrayer plus d’une.
C’est également elle qui m’a fait découvrir mes premiers ébats entre nanas.
Revendiquant fièrement son homosexualité depuis toujours, je lui avais fait des avances le jour de mes 19 ans.
Avances qu’elle n’avait pas mit longtemps à accepter.
Ce fut un plaisir total.
Je me rappelle encore de ce mélange d’envie et de peur qui m’avait noué le ventre
jusqu’à ce que ses lèvres se posent sur les miennes.
A partir de cet instant magique, ces deux sentiments ne formaient plus qu’un : le désir.
Elle m’avait fait monter au paradis comme aucune femme ne l’avait fait auparavant.
Pendant toute une nuit ce fut un délice de baisers, une cascade de caresses et un anniversaire inoubliable.
Depuis ce jour, cela fait 7 ans tout de même, j’ai eu quelques expériences saphiques qui, sans être négatives, ne furent pas aussi grandes que cette nuit là.
Elle me téléphonait pour me proposer de se voir toute les deux cet après-midi.
Rendez-vous prit, je me préparais doucement, me parant de façon à être la plus belle possible, afin de lui faire plaisir et lui démontrer, par la même, mon intérêt pour ces retrouvailles.
Nous nous sommes retrouvées près de la gare du Nord pour aller boire un pot.
Deux heures passèrent, pendant lesquelles nous nous sommes fait un compte-rendu de ces deux derniers mois.
Boulot, potins, rencontres, tous les sujets y sont passés au peigne fin, des plus anodins au plus croustillants.
Elle me raconta, notamment, sa dernière conquête, une belle femmme d’une trentaine d’années, découvert par hasard lors d’un salon.
Apparemment, ce serait elle qui aurait fait le premier pas, qu’elle ne s’est pas fait prier pour emboîter rapidement.
Ils ont passé deux week-end de suite à l’hôtel, à faire des cochonneries très salaces, dont seule Sophie a le secret.
Elle m’explique qu'elles ont rencard ce soir, dans un hôtel tout proche, car Madame  n’est pas de Bruxelles, pour continuer à « approfondir leurs connaissances », comme elle aime à me le dire.
Heureuse pour elle, car elle en parlait avec des éclats dans les yeux, je n’en fus pas des plus surprise quand elle me proposa de venir les rejoindre.
De sa part, ça ne m’étonnait qu’à moitié.
Quelques minutes furent nécessaires pour décider de ma réponse.
Ces quelques furent de trop, si je n’avais pas voulu y aller.
Elle me persuada que c’était une bonne idée et que cela me changerait les idées, après ma récente rupture, d’une liaison de 9 mois.
Elle me donna une heure de rencontre, le nom d’un hôtel et un numéro de chambre,
où je devais me présenter.
-« Tu vas voir, nous allons bien nous amuser, je te le promet. », me dit-elle avec
un grand sourire.
Nous nous sommes quittées là-dessus.

Comme j’avais deux bonnes heures, à nouveau, pour me préparer, je suis rentrée chez moi pour me faire encore plus belle que je ne l’étais déjà.
Des sous-vêtements aguicheurs, une belle robe longue sur mes beaux talons, un petit haut sexy sous un petit gilet « fashion ».
Tout cela saupoudré d’un léger maquillage faisant toute la différence et d’une coupe de cheveux plaquée en arrière, se terminant par un chignon que je maîtrise parfaitement.
J ‘étais fin prête à partir.
Une bonne vingtaine de minutes plus tard en voiture, j’arrivais près du lieu de rendez-vous.
L’instant de me garer et je trouvais facilement l’hôtel en question.
Elle m’avait dit d’être, relativement discrète lors de mon entrée dans le hall et le passage devant la réception.
Car si l’endroit était chic, les employés ne devaient apprécier qu’avec beaucoup de modération ce genre de situation.
Profitant d’un moment de désertion du réceptionniste, je me faufilais rapidement vers l’ascenseur.
Lorsque celui-ci s’ouvrit, je me retrouvais nez à nez avec un membre de l’équipe hôtelière.
Une légère tension s’empara de moi, pensant qu’il allait me demander la raison de ma présence ici.
Cette tension s’atténua quand je le vis me sourire et, au passage, me reluquer un peu.
J’étais enfin devant cette fameuse porte.
Une douce frappe et Sophie, qui n’était plus vraiment habillée très décemment m’ouvrit.
Elle m’accueillit en m’embrassant tendrement sur la bouche.
Je m’avançais dans cette chambre, qui me paraissait immense.
Quelle ne fut pas ma stupéfaction lorsque je vis sa maitresse du moment allongée sur le lit, nue, les yeux bandés et les jambes écartée..
-« Tu arrives juste à temps, ma chérie.Je m’occupais de Madame en t’attendant », me lança-t-elle.
Joignant le geste à la parole, elle s’allongea à ses côtés et prit sa chatte dans une main pour la masturber, tout en lui dévorant la bouche de baisers.
Elle me demanda de m’asseoir sur une chaise, à droite du lit.
Je m’exécutais sans un mot, de peur de les déranger.
Pendant ce temps, elle avait entreprit une minette , qui semblait faire son effet.
Cette fille, dont je ne connaissais ni le nom, ni le visage, se tordait de plaisir.
De ses doigts agiles, elle lui caressait le corps de haut en bas et de droite à gauche.
Insistant sur ses parties sensibles telles que les tétons, l’intérieur des cuisses et même les pieds.
Je profitais du spectacle qui mettait offert avec délectation.
La voir ainsi, quasiment nue, en train de lécher ce sexe d’une personne qui m’était totalement inconnue deux secondes auparavant, fit monter en moi un désir que je n’arrivais pas à contrôler.
Se faisant, elle me regardait et me souriait d’un air complice.
Je compris alors qu’elle me remerciait d’être présente.
Mais ce à quoi je m’attendais n’était rien comparé à ce qui allait se produire.
Cette fille, qui appréciait réellement les attentions que lui offrait Sophie, décida qu’il était temps pour elle de passer à l’acte.
Elle  voulu se relever mais, d’une main ferme, elle le força à rester allongée.
Surprise, car elle ne voyait toujours rien, elle allait lui dire quelque chose quand soudain :
-« Ta gueule ! Tu ne bouge pas tant que je ne te l’ai pas ordonné. »
Entendre ces mots dans sa bouche et à cet instant me surpris grandement.
Mais pas plus que celle à qui elles étaient adressés.
D’un ton médusé, elle balbutia quelques mots incompréhensibles.
-« Ta gueule, je viens de te dire.Ce soir c’est moi qui suis aux commandes et je vais te faire ce que je veux. »
Après avoir dit cela, elle lui attacha les mains.
Elle ne bronchait plus.
J’étais ébahie devant tant d’assurance de sa part.
La situation, qui prenait une tournure vraiment impensable à mon réveil, m’excitait de plus en plus.
J’étais impatiente de découvrir ce qu’elle lui avait préparé comme surprises.
Elle s’assaillit sur elle et se jeta littéralement sur son sexe, mouillée comme pas possible.
S’activant comme une forcenée, elle me tendit la main pour me faire signe de me rapprocher.
Je me levais de cette chaise inconfortable pour m’asseoir sur le rebord du lit à leurs côtés.
J’étais vraiment tout près d’eux, au point que je pouvais sentir l’odeur qui émanait de leurs ébats.
Elle prit ma main et la posa sur les seins de sa maitresse.
Elle avait la peau douce.
Sans me gêner, je lui caressais le ventre et lui titillais les tétons.
Elle semblait aimer.
Elle prit mon autre main et la déposa sur sa petite poitrine, afin que je lui fasse la même chose.
Voilà, j’étais dans la partie.
Et pendant qu’elle s’affairait sur sa chatte, je lui malaxais les seins pour les faire pointer encore plus, si elle  en était vraiment besoin.
Elle m’aida à enlever mon haut moulant et, après avoir ôté également ma jupe, je me retrouvais en sous-vêtements.
-« Lève-toi », lui dit-elle.
Elle était debout, au pied du lit, le sexe toute dégoulinante et semblait être complètement désabusée.
Elle ne parlait plus du tout, attendant que Sophie lui dise de faire selon ses souhaits.
-« Prends-la dans tes bras et embrasses-la, salope. »
Son langage devenait de plus en plus cru.
J’étais dans ses bras, dos à elle.
Je sentais son sexe brûlant contre mes fesses.Sophie s’était placée derrière elle.
Dans le miroir, je voyais qu’elle s’occupait des fesses de notre fille.
Elle insistait lourdement dessus.
Bizarrement, en même temps, un poids pesait sur mon dos.
Cette vicieuse se penchait en avant pour que les caresses intimes de ma copine soient plus localisées.
Je pouvais deviner tout ce qui se déroulait grâce à son souffle dans mon cou.
Elle venait de lui enfoncer un doigt dans l’anus.
Je le savais car elle soupirait de plus en plus fort.
-« Tu as vraiment l’air d’aimer ça, cochonne ! »
Elle ne répondait toujours pas.
Je n’en pouvais plus, il fallait que je vois tout dans le détail.
Je me retirais donc de ses bras et me plaçais aux côtés de Sophie.
Elle la fit s’agenouiller sur le lit.
Elle avait maintenant le cul en l’air et était tout offert aux envies perverses de sa dominante.
Car c’est ce qu’elle était devenue, une dominatrice.
Elle savait exactement ce qu’elle voulait, savait exactement ce qu’elle allait dire et savait exactement comment le dire.
Elle se mit entre ses cuisses et lui lécha l’anus.
Je savais que c’était quelque chose qu’elle adorait, car, il y a 7 ans, lors de notre nuit de folie, elle s’était longuement attardée sur le mien, ce qui m’avait procuré un plaisir fou.
Elle gémissait.
-« Tu veux goûter ? » me demanda-t-elle.
Toujours un temps de réflexion et je me laissais tenter par cette proposition.
Son anus était déjà bien dilaté.
Elle en émanait une odeur complètement enivrante.
Je me perdais dans son cul et me surprenais à lui claquer les fesses, comme j’aime que l’on me le fasse lorsque que je m’offre ainsi.
Sophie rigolait de me voir me prendre au jeu.
Quittant un instant mon nouveau terrain de jeu, je me retournais et la vis harnachée d’un gode-ceinture.
Et d’un bon diamètre, me semblait-il.
Elle attrapa notre amie par les cheveux et l’obligea à s’asseoir.
-« Sucez moi, salopes ! »
Elle m’avait entièrement fait pénétrer son univers et j’avais décidé de participer totalement.
J’ai pris ce sexe en plastique et l’ai sucé comme j’aurais sucé une vraie bite.
J’y ai mis tout mon cœur.elle aussi, d’ailleurs.
Nous nous relayions, chacun notre tour, pour bien lubrifier l’objet.
Cela fait, elle plaqua notre maitresse d’un soir au sol et se plaça derrière lelle.
Présentant son engin aux portes de son anus, elle l’inséra sans difficultés.
Elle se déchaîna violemment sur ses fesses.
Elle me rappelait une des baises que j’avais eu avec une de mes ex.
La première fois que je lui avais offert ma pastille, elle était tellement excitée qu’elle m’avait mitraillé pendant dix minutes et elle était dans le même état qu'elle, sauf qu’elle.
Notre fille hurlait.
Ses cris ressemblaient à des mélanges de douleurs et de plaisirs.
Elle se délectait de cette vision.
Et a force de violenter les fesses de son amie, cette derniére hurla de plaisir.
Seulement, ce faisant, je ne l’ai pas vu venir, elle et son attirail.
Elle avait également décidé que je devais y passer, alors elle se mit l’œuvre.
En me parlant aussi vulgairement qu’elle l’avait fait avec elle, elle me pénétra la fente facilement, tant j’avais mouillé comme une folle.
Elle me pilonna à mon tour sans vergogne.
Je sentais ce membre dur entrer et sortir à tel point que je manquais de jouir à chaque instant.
Elle me traitait de salope et j’adorais.
Cela n’avait rien à voir avec notre première fois, pendant laquelle elle avait été douce comme un ange et une excellente professeur.
Là, elle assouvissait une de ses envie de sexe soudaines qui la caractérisent depuis toujours.
Elle se mit en tête de me sodomiser et y parvint malgré mes rapides réticences.
Son gode était si large que j’ai eu l’impression elle allait me déchirer.
Je comprenais pourquoi elle hurlait, vingt minutes plus tôt.
Sachant que j’adorais ça, car nous nous disons tout, elle me fessait et me parlait de façon très crue.
Pendant ce temps, elle, qui avait retirée son bandeau et pouvait enfin me voir, se plaça devant moi et me présenta son sexe.
Elle me le mit carrément en bouche , alors je n’ai eu d’autre choix que de la lécher à nouveau.
Ce petit manège dura une bonne dizaine de minutes, le temps pour moi de jouir deux fois.
Sentant que notre fille allait jouir aussi, je voulus l’ôter de ma bouche mais cette salope, de ses mains appuyées contre ma tête, m’en a empêchée et a jouie comme une damnée. 
Je les ai quittées, contente de cette expérience vécue grâce à mon amie Sophie, pour les laisser finir leur nuit à deux.
De cette soirée, je retiens ma découverte du plaisir d’être soumise.
Je m’en doutais déjà un peu, car j’aime quand les filles m’imposent leurs envies.



Publié dans Mes récits coquins.

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A
Ma fille Alice avait froid à la maison, ce soir la, avant de sortir avec ses amis, et c’était un peu normal, en hiver, alors qu’elle s’était préparée en petit chemisier et jupe courte , grise , très serrée <br /> En attendant, je la fis asseoir contre moi, sur le canapé, entre mes jambes, et passai mes bras autour d’elle, pour regarder une vidéo<br /> A un moment il y eut  une scène assez chaude entre un homme et une fille bien plus jeune, un  flirt qui dérapait, en fait, et cette scène me fit immédiatement durcir et gonfler dans mon jeans, <br /> Alice s’en rendit compte au contact de sa jupe, car elle voulut s’avancer pour m’éviter, mais mes bras la retenaient, elle ressentit jusqu’au bout mon désir s’amplifier <br /> Je la relâchai alors un peu d’une main, pour venir la caresser doucement sur une des pointes sous le chemisier, et la, elle prit une grande inspiration, et, sans rien dire de plus, elle inclina sa tête sur le coté dans un geste très gracieux<br /> J’approchai mes lèvres de ce joli cou si fin, parfumé, enivrant, et tout près, soufflai un peu de chaud sur elle, contre sa peau blanche et marbrée comme celle d’une petite fille, et ses cheveux fins, tout en caressant le sein : Elle se cambra alors d’un coup, avançant sa poitrine à ma rencontre, en resserrant ses cuisses fortement, et relevant un genou<br /> « Papa, …… non ! …… arrête, on ne doit pas faire ça, arrête ……<br /> Délicatement, sans répondre, je lui fis tourner son visage rosi par la circulation intense qui s’y produisait, à la rencontre de mes lèvres, et c’est sans retenue qu’elle s’engouffra dans ma bouche, cherchant ma langue, et fouillant mes dents, mon palais, et ma langue<br /> « Papa, …… on ne doit pas …..<br /> Sa main droite partit alors timidement en direction de mon jean et puis plus sûre d’elle et de moi, frotta mon sexe, ce qui l’excita encore plus, elle prit alors le tissu et le sexe tout a la fois et serra en faisant un peu de va-viens <br /> Mes mains descendirent sous la jupe serrée, je me mis à bander terriblement dans sa main, appuyée entre les fesses, et je savais que là, sous la jupe, dans le repli, sous la culotte, se trouvait son petit œillet serré, peut-être un peu souillé ? <br /> J’avais déjà pu l’observer les soirs ou elle s’endormait, achevée après ses sorties entre copains : je profitais à ces occasions de ce qu’elle était endormie, soulevais doucement sa petite culotte et j’écartais tout aussi doucement ses fesses pour mieux voir …. J’adorais quand il restait un peu de traces, je les goûtais alors de la langue, et nettoyais tout ! Une fois, les traces avaient séché dans la culotte et autour de l’anus, elles étaient faites de sperme blanchâtre … !..  Ma fille avait donc connu la pénétration de son anus …. <br /> J’y pensai tout en caressant sous sa culotte blanche son duvet, je descendis encore :<br /> « Papa, …. Attends …. <br /> Elle défit le zip de coté pour m’aider dans ma visite et se replaça contre moi <br /> Je trouvai alors sa vulve devenue par magie très humide et chaude, puis je commençai à introduire facilement un doigt câlin et délicatement, à la titiller dans son sexe offert sans pudeur aucune maintenant, dans son ventre palpitant  <br /> « Papa … je sais que tu me désires depuis longtemps, je sais ce que tu me fais les soirs où tu crois que je dors, je ne t’en veux pas, je t’aime …….et là …. Papa, …….tu commences vraiment à me faire jouir ! C’est trop bon …. Continue …….. ………dit elle en soupirant<br /> A un moment elle soupira plusieurs fois très vite et fort, son ventre se creusa, puis se tendit, une fois, deux fois,  se détendit brusquement par à-coups  puis elle se cambra alors violemment plus fort, elle lança ses belles jambes en l’air, tordit ses pieds frénétiquement et enfin elle contracta par saccades son sexe sur mon doigt, inondé cette fois abondamment par sa source chaude <br /> Mais ce soir là ne fut pas une chance : Est-ce le fait de son orgasme, du désordre dans sa maîtrise? Elle fut prise tout à coup d’une furieuse envie, se replia en avant, resserra les cuisses sur ma main, chercha à se retenir, mais rien n’y fit et, après avoir émis un fort gargouillis, elle se relâcha dans sa culotte et la remplit complètement, en vidant son ventre longuement, contre moi <br /> Puis elle se releva et courut en fuyant vers la salle de bains ! <br /> Je la rattrapai, la rassurai en l’embrassant à pleine bouche, elle contre le mur de la salle de bains, mon sexe dressé contre elle, qu’elle vint saisir malgré sa gêne, après avoir ouvert ma braguette : <br /> « Alice, je vais venir……<br /> « Papa …..<br /> Nous restâmes appuyés l’un contre l’autre et je commençais à me frotter contre elle, jusqu’à ce que je coule entre ses doigts <br /> « Alice …….. Ma source est pour toi toute chaude ….. <br /> « Papa ….je t’aime….. <br /> Pour finir, c'est moi qui me chargea de la nettoyer , l’étendre sur le tapis de bains , de la laver avec un gant au savon parfumé, et, avant de la rincer, de la consoler avec plein de bisous, allant de la bouche au ventre, le fautif !, au fesses, à son joli petit anus , au sexe, que je suçotai enfin entre ses lèvres : Alice étendue s’offrait maintenant complètement, écartant bien les jambes en l’air et me tenant la tête contre elle jusqu’à en étouffer …. <br /> Je la rinçai, la séchai et finis par la changer de jupe et de culotte, pour  la préparer à nouveau pour sa soirée, en la parfumant et en la recoiffant <br /> « La soirée fut   gé-niale! Me dit elle à son retour, plongeant dans mes yeux, elle ouvrit ma braguette et fit une caresse légère sur mon sexe, flétri entre mes jambes, puis me laissa ainsi tel quel  <br /> Plus tard, je lui rendis visite à nouveau alors qu’elle se fut endormie ….<br /> Entre elle et moi, cette complicité de la nuit dure toujours, depuis des années, et chaque occasion nous transforme en  amoureux, et nous redécouvrons tous les plaisirs, comme aux premiers temps des ages   
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T
La soumission est tellement triviale... surtout lorsque la personne soumise en tire un plaisir inégalable. Il est interessant de connaitre l'avis de personnes comme toi qui osent s'adonner à des pratiques "méconnues" du grand public. J'espère que ta curiosité te poussera sans cesse à découvrir de nouvelles façons de te faire "redécouvrir" le plaisir sous un angle différent.<br /> Ton blog est fort sympathique. A+<br />
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E
merci pour le bon anniversaire!<br /> Tu dois comprendre que la solitude, on finit par s'y habitué! tout simplement, on finit même par aimer çà! le vrai sens du mot liberté!CIAO CIAO
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